LA TRAGÉDIE DU COL DE DYATLOV (RUSSIE)

 

Le 23 janvier 1959, neuf étudiants de l'Institut polytechnique de l'Oural, âgés entre 20 et 24 ans, ainsi qu’un ancien soldat de 38 ans, décident de faire une randonnée en ski de fond de 300 kilomètres et de gravir le mont Otorten et le mont Oyka-Chakur. Il s’agit d’une excursion difficile, d’environ deux semaines, mais ce sont des randonneurs chevronnés et en pleine forme. Le chef de groupe est un randonneur expérimenté du nom d’Igor Dyatlov. Ainsi le nom du col a été donné en sa mémoire et en la mémoire des autres randonneurs décédés.

(…)

 L’expédition devait se terminer le 12 février et à leur arrivée, ils devaient transmettre un télégramme à leur club de sport. Mais c’est le silence… aucune nouvelle! Peut-être que la randonnée a été un peu plus longue que prévu, mais les jours passent et aucun message n’est reçu. Visiblement, il y a un problème et, le 20 février, la police met en place une opération de recherche à laquelle se joindront ensuite des militaires et des Mansis qui connaissent bien la région. Ils refont la randonnée et, le 25 février, ils leur découvrent la tente très endommagée et couverte de neige. Dans la tente, il y a tous les effets personnels du groupe : vêtements chauds, chaussures de skis, bottes, skis, couteaux, vivres, médicaments, argent, etc. Mais il n’y a aucune trace des neuf randonneurs…

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Lors de l’autopsie, le médecin légiste remarquera que les vêtements des randonneurs ont une étrange couleur violette. Plus tard, des analyses radiologiques seront faites sur les corps et les vêtements, ce qui était une procédure tout à fait inhabituelle à cette époque. Voici un extrait de l'interrogatoire de l'expert Levashov qui a effectué les tests radiologiques : « Peut-on supposer que ces vêtements sont contaminés par des poussières radioactives? Réponse : Oui, les vêtements sont contaminés soit par des poussières radioactives tombées de l'atmosphère, soit ces vêtements ont été contaminés lors de travaux avec des substances radioactives, ou par contact. Cette pollution dépasse, comme je l'ai déjà indiqué, la norme pour les personnes travaillant avec des substances radioactives. » C’est aussi peut-être la raison pour laquelle on n’a pas retrouvé de traces d’animaux sur place et que les corps n’ont visiblement pas été touchés par les animaux (aucune trace de morsures ou autres).

 

Un autre phénomène déconcertant est raconté par l’enquêteur Lev Ivanov : « Lorsqu'en mai nous avons examiné les environs de la scène avec EP Maslennikov, nous avons constaté que certains jeunes sapins à la lisière de la forêt portaient des traces de brûlures, mais ces traces n'avaient pas de forme concentrique ou d'autre système et il n'y avait pas d'épicentre. Cela confirmait une fois de plus la direction d'une sorte de rayon de chaleur ou d'une énergie forte, mais totalement inconnue, en tout cas de nous, agissant sélectivement, la neige n'avait pas fondu, les arbres n'étaient pas endommagés. »

 

En résumé, durant la nuit (le médecin légiste déclara que leur dernier repas remontait à six ou huit heures), quelque chose d’extraordinaire se passa, forçant les jeunes gens à quitter leur tente précipitamment, sans prendre le temps de se vêtir, ce qui leur assurait une mort certaine avec cette météo hivernale de janvier. Pourtant, ces randonneurs chevronnés savent que quitter la tente, et pire, la lacérer en la rendant inutilisable, c’est quitter le seul endroit dans cette nature hostile qui les protège du froid et leur assure une certaine sécurité. Mais alors, que s’est-il donc passé pour qu’ils agissent de la sorte? Quel phénomène hors norme s’est-il produit cette nuit-là?

 

L’enquête sera bouclée un mois seulement après la découverte des derniers corps, soit le 28 mai, ce qui est quand même très curieux compte tenu de la complexité de cette affaire. On a l’impression qu’on a voulu étouffer l’affaire bien vite! Le procureur pénal Lev Ivanov conclura dans son rapport : « Compte tenu de l'absence de blessures corporelles externes et de signes de lutte sur tous les cadavres, de la présence de toutes les valeurs du groupe, et compte tenu également de la conclusion de l'examen médico-légal sur les causes de décès des touristes, il convient de considérer que la cause de la mort des touristes était une force naturelle, que les touristes n'étaient pas en mesure de surmonter. »

 

Quelques extraits de cette histoire tragique qui figure dans mon livre ÉNIGMATIQUE – RUSSIE

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BIBA STRUJA, L’HOMME ÉLECTRIQUE

 

Slavisa Pajkic est né en Serbie en 1957. Il est plus connu sous le nom de « Biba Struja, l’homme électrique ».


Un jour, alors qu’il est âgé de seulement 17 ans, il répare avec l'un de ses amis une barrière électrique avec un fer à souder. Son ami va recevoir une violente décharge électrique et il lui dit de faire attention. Mais lorsque Biba Struja touche la clôture, il ne ressent absolument rien. Il reste parfaitement insensible au fort courant électrique!

 

En rentrant chez lui, il veut vérifier s’il est vraiment doté d'une insensibilité au courant électrique. Il va prendre deux clous et une ampoule qu’il va insérer dans une prise de courant électrique… L’ampoule s’allume, mais l’électricité n’a aucun effet sur lui! Il est capable de soutenir des tensions supérieures à 20 000 volts sans se faire électrocuter!

 

Pour une personne « normale », il faut faire attention à partir de 50 volts et, avec le 220 volts, il y a un danger pour l’homme : le corps s’échauffe, les muscles se contractent, pouvant amener à l’arrêt cardiaque…

 

De plus, il va assez vite se rendre compte qu’il est capable de se charger en électricité, à l’instar d’une batterie, et il parvient à contrôler le débit électrique qui sort de son corps. On l’appelera aussi la « batterie humaine »! Il explique : « J’arrive à contrôler l’électricité avec ma volonté. C’est purement mental. Je peux même choisir la puissance de la décharge électrique. »

 

Le cas de Biba Struja est absolument incroyable et c’est un cas apparemment unique au monde!

 

Par exemple :

 

Il va faire des démonstrations partout, sur les plateaux de télévision, dans des évènements, etc. Il va figurer pour la première fois dans le Livre Guinness des records en 1983, puis en 2004 où il battra son propre record en réchauffant avec ses mains de l'eau très froide en moins d'une minute.

 

Biba Struja est né sans glande sudorale, il ne transpire jamais. La résistance électrique de son corps est donc très élevée ce qui lui permet de toucher des potentiels électriques important sans qu'un courant dangereux ne traverse son corps. Mais, même s’il a subi toute une batterie de tests et d’examens au centre médical de l’armée de Belgrade, les médecins et scientifiques ne parviennent pas à comprendre comment cela est possible ni comment l’électricité parvient à passer dans son corps.

 

Finalement, avec ce pourvoir incroyable, il va pouvoir guérir certaines personnes, nomment celles souffrant d’arthrite. 

LA RÉINCARNATION DE SHANTI DEVI

 

Shanti Devi est née à Delhi, en Inde, le 11 décembre 1926.

DES SOUVENIRS INCROYABLES!

Alors qu’elle a environ 4 ans, Shanti dit à ses parents qu’elle s’appelle « Lugdi » et que sa maison n’est pas ici, mais à Mathura, à environ 145 km de son domicile. Ses parents sont consternés et essaient de lui faire entendre raison. Mais rien n’y fait! Shanti répète qu’elle est mariée à un marchand de tissu du nom de Kedarnath Chaube (en dialecte) et qu’elle a des enfants.

Pendant des jours et des semaines, elle va donner des détails sur sa vie, ses voisins, sa ville, sa rue, etc. Elle va dire qu’elle est décédée dix jours après avoir donné naissance à son fils.

Lors des repas, elle pouvait dire : « Dans ma maison à Mathura, je mangeais différentes sortes de sucreries. » Quand sa mère l'habillait, elle raconte quel type de robes elle avait habitude de porter. Elle va même donner des précisions sur l’apparence physique de son mari. Il est blond, a une grosse verrue sur la joue gauche et porte des lunettes de lecture. Elle a également mentionné que la boutique de son mari était située en face du temple de Dwarkadhish.

L’INCOMPRÉHENSION

Ses parents, inquiets, vont lui faire voir un psychologue et un médecin…

Mais le directeur de l’école va découvrir que, dans la ville de Mathura, il y a bien un homme qui a perdu sa femme neuf ans plus tôt après avoir donné naissance à un fils. Cette femme s’appelait Lugdi Devi.

LES RETROUVAILLES

Le médecin décide alors de faire une expérience. On amène la petite Shanti à Mathura et on lui demande  si elle est capable de retrouver sa maison. Elle va marcher dans la ville, sans aucune hésitations, déambuler dans les rues et se rendre jusqu’à la maison de Kedarnath, celui qu’elle dit être son mari.

Le médecin décide alors de faire une 2e expérience. Il convoque Kedarnath et le met dans une pièce avec neuf autres hommes. Il fait alors entrer Shanti qui se dirige immédiatement vers Kedarnath en se jetant dans les bras. Bien sûr, ce dernier ne comprend pas ce qui se passe et se demande qui est cet enfant! Mais Shanti va lui donner de nombreux détails et anecdotes sur leur vie. Il comprend alors qu’elle est bien qui elle prétend être!

Shanti a également été capable de reconnaître plusieurs membres de la famille.

De plus, elle a raconté tout ce qui s'était passé jusqu'à sa mort après son accouchement, dont les interventions chirurgicales compliquées qu'elle avait subies. Le médecin n’en revenait pas des détails donnés par une si petite fille sur des procédures chirurgicales qu’elle n’aurait normalement jamais dû connaître ni même comprendre!

L’ENQUÊTE

Kedarnath est décédé peu de temps après, en 1936, alors que Shanti avait huit ans.

Cette affaire est tellement incroyable qu’elle a été portée à l’attention du Mahatma Gandhi qui a mis en place une commission d’enquête comprenant 15 personnalités éminentes, dont des parlementaires, des membres des médias et des dirigeants nationaux. Le rapport de la commission, publié en 1936, concluait que Shanti Devi était bien la réincarnation de Lugdi Devi.

La publication du rapport a suscité l’intérêt du monde entier.

LA PREUVE DE LA RÉINCARNATION

Le Dr Ian Stevenson, un psychiatre américain, une autorité en matière de réincarnation, et qui a étudié le cas de Shanti a déclaré : « J'ai également interviewé Shanti Devi, son père, et d'autres témoins pertinents, y compris Kedarnath, le mari affirmé dans sa vie antérieure. Mes recherches indiquent qu'elle a fait au moins 24 déclarations de ses souvenirs qui correspondaient aux faits vérifiés. »

Shanti est décédée le 27 décembre 1987 à l'âge de 61 ans. Son histoire vit grâce à un livre écrit par l'auteur suédois, Sture Lonnerstrand, paru en 1994 et traduit en anglais en 1998. 

L’INCROYABLE HISTOIRE DE LA VIERGE DE SOUFANIEH, SYRIE

 

Myrna Nazzour est née le 3 mai 1964. En 1982, elle vient de se marier à l’âge de 18 ans et elle vit à Soufanieh est un quartier de la ville de Damas en Syrie.           

1er évènement extraordinaire – L’HUILE

Tout commence le 22 novembre 1982 alors que Myrna est au chevet de sa belle-sœur malade. Tout à coup, ses mains se remplissent d’huile. Elle est un peu affolée et demande à la Vierge de la protéger. Elle met ses mains sur sa belle-sœur malade qui est immédiatement soulagée.

Quelques jours après, le 27 novembre 1982, son mari avait apporté une image de la Vierge et l’enfant de Sophia en Bulgarie… et une de ces images se met à briller et à suinter. Ils mettent une petite assiette en dessous de l’image et la coupelle se remplie d’huile qui sent l’odeur de l’huile d’olive. Myrna entend alors une voix féminine très douce qui lui dit : « Ouvrez les portes et ne privez personne de ma vue. » C’est le début de la mission de Myrna et de son époux Nicolas : ils vont ouvrir leur maison tous les jours pour la prière et pour ceux qui demanderont de l’huile pour être soulagé.

La nouvelle se répand très vite. Des prêtres viennent pour s’assurer qu’il n’y a pas de supercherie.

2e évènement extraordinaire – LES APPARITIONS MARIALES

En 1982 et 1983, la Vierge apparait à Myrna et lui délivre plusieurs messages. Toutes les apparitions ont eu lieu de nuit, sur la terrasse en haut de la maison. Seule Myrna voit la Vierge. Il règne une intense atmosphère de prière et de paix autour d'elle et dans toute la maison règne lors des apparitions. La Vierge est vêtue de blanc, avec une ceinture bleue, recouverte d'une sorte de capuche faisant partie de la robe et portant sur son épaule droite, un châle bleu - semblable au tableau de l'Assomption de Murillo. 

3e évènement extraordinaire – LES EXTASES (LE CHRIST) 

Habituellement, l'extase est précédée d'une effusion d'huile de ses mains, de son visage ou de son cou. Quand elle est sur le point de voir le Christ, l'huile sort aussi par ses yeux et les brûle avant qu'elle n'entre en extase. Cette étape est suivie de l'extase elle-même, c'est-à-dire de l'état de déconnexion avec le monde extérieur. Pendant cette phase, Myrna ne voit rien, n'entend rien et ne ressent rien. Son corps est raide. Elle voit le Christ sous la forme d'une Personne faite de lumière sans distinguer son visage, ce qui n'est pas le cas pour la Vierge. Après avoir vu le Christ, elle revient à son état normal, et elle prend le temps de retrouver sa vue normale : sa lumière intérieure l'empêche de voir quoi que ce soit. 

4e évènement extraordinaire – LES STIGMATES 

Le phénomène des stigmates se manifeste chez la personne stigmatisée avec l'ouverture, dans son corps, de blessures (stigmatisation) rappelant les cinq blessures du Christ, plus la couronne d'épines. Les plaies ne suppurent pas et le sang est pur. La stigmatisation s'accompagne d'intenses souffrances physiques et morales. Cela se passe généralement pendant la journée, en souvenir de la Passion du Christ. 

5e évènement extraordinaire – LA CÉCITÉ LUMINEUSE 

Myrna est devenue aveugle pendant 3 jours et a vomi de l’huile. Et c’est seulement après ce rejet d’huile par voie orale qu’elle a recouvré la vue. Il s’agissait d’une cécité lumineuse qui la rendait aveugle au monde environnant. Elle était cependant capable de voir les objets saints, les images saintes, le chapelet : elle voyait une lumière encore plus lumineuse au sein de cette grande lumière. 

6e évènement extraordinaire – LES GUÉRISONS 

Les guérisons ont été nombreuses à Soufanieh, autant d’ordre spirituel que physique. Sur le site Web de Soufanieh, 17 cas de guérison sont expliqués. Ils ont fait l’objet d’analyse et de rapports médicaux. Il y a des guérisons de la polio, maladies osseuses, paralysies, de cécité et de cancers. Les guérisons physiques touchèrent aussi bien des chrétiens que des musulmans. Elles n'eurent pas toujours lieu dans la maison de Myrna, ni toujours en sa présence. Souvent, elles se produisent au contact de l'huile de Soufanieh.