CAIRN DE GAVRINIS, BRETAGNE, FRANCE

 

Le cairn de Gavrinis est un site mégalithique situé sur l’île de Gavrinis en Bretagne qui a été construit entre 4 250 et 4 000 ans avant J.-C.

 

DESCRIPTION DU CAIRN

 

Le cairn est un dolmen formant une galerie d’environ 1,50 mètre de large et de haut et de 14 mètres de long, aboutissant sur une chambre. Il est recouvert d’un tumulus circulaire de plus 50 mètres de diamètre et de 6 mètres de hauteur, ce qui le rend très impressionnant !

 

Il est constitué de 23 dalles de pierre érigées verticalement, lesquelles sont surmontées de 9 dalles de couverture.

 

La chambre sur laquelle donne ce long couloir mesure 2,55 mètres de long et 2,45 mètres de large. Elle est également plus haute que la galerie, soit environ 1,70 mètre. Elle est formée de 6 dalles ornées de gravure et une seule très grande dalle de couverture.

 

Ce qui est absolument splendide dans ce cairn, ce sont les dalles de pierre qui sont gravées de symboles mystérieux.

 

De plus, l’entrée du Cairn est un trilithe qui est orienté vers le lever du soleil au solstice d’hiver.

 

HISTORIQUE

 

Tiré de Regards sur un mystère, le cairn de Gavrinis, par Laurent Lescop :

 

« Existe-t-il une permanence du sacré ? Une mémoire d’usage se transmet-elle de génération en génération ? Le cairn de Gavrinis a été fermé vers 3 400 avant notre ère ou dit autrement il y a environ 5 400 ans. Il impose toujours sa présence dans le paysage et l’on retrouve des objets attestant de présences successives. Alors que le XIXème siècle s’élance dans la course à l’industrialisation et aux grandes transformations du monde, les bâtiments religieux installés à Gavrinis sont vendus puis détruits.

 

En 1832 le docteur Cauzique, maire de Crach pénètre dans le cairn partiellement effondré devenu cratère et arrive directement dans la chambre. Prosper Mérimée qui viendra inspecter le chantier de dégagement notera dans son carnet de voyage ces quelques descriptions partout reprises : les courbes, les lignes droites et brisées et les tracés combinés de cent manières différentes, c’est le début de la notoriété des stèles gravées. Le site devient un objet d’étude et accède à une forme de popularité que les années n’éroderont pas. Gustave de Closmadeuc, Zacharie Le Rouzic, CharlesTanguy Le Roux se succèdent à l’étude, puis la restauration du monument.

 

Gavrinis fait image et une seule de ses stèles fait synecdoque. Il suffit parfois même de ne montrer qu’un extrait pour renvoyer immédiatement à l’ensemble du monument. Les signes ont très vite été étudiés et connus et l’on connait dès 1832, avec les relevés de Lucas, les premières descriptions des stèles. Mais ce n’est que 150 ans plus tard, à partir de 1980, qu’un premier corpus complet et rigoureusement effectué alimentera le monde académique puis le grand public de la majesté des compositions des stèles de Gavrinis. »

 

ÉTUDE MENÉE DE 2011 À 2013

 

De 2011 à 2013, Serge Cassen, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) de Nantes, a entamé un travail de recherche avec une équipe pluridisciplinaire composée d’archéologues, d’architectes, de topographes, d’informaticiens et de développeurs. Toutes les dalles (sol, murs, de couverture) ont fait l’objet d’un relevé topographique numérique en 3D permettant ainsi de restituer l’intégralité du relief des pierres, pas toujours visible à l’œil nu. Ainsi, des gravures non visibles ont pu être révélées.

 

Ce travail a notamment permis de définir la chronologie de gravure de chaque dalle.

 

Serge Cassen explique le travail réalisé par l’artiste pour la fabrication de l’une des dalles (celle où il y a un arc) : « La surface était soigneusement préparée. Ensuite, il a divisé la surface en panneaux, comme un peintre divise son tableau. Technique d'artiste ou cela avait-il un sens spirituel ? En tout cas, il y a douze étapes différentes. »

 

Toujours selon Serge Cassen, le site n’a pas été construit par hasard, mais il ne peut en expliquer l’origine.

 

DÉTÉRIORATION DU SITE À CAUSE

 

Serge Cassen fait part de la situation préoccupante de l’état du site : « Lorsque nous avons fait la numérisation 3D des pierres, nous avons été gênés par des coulures brunes. »

 

L'ouverture du cairn et la création d'un puits sommital ont changé le climat interne du monument. De plus, les parties restaurées ont été faites en béton afin de pouvoir clairement les identifier. Mais le béton contenait du sable de mer, ce qui a contribué à l’endommagement du site.

 

Le rapport du Laboratoire de recherche des Monuments Historiques indique : « Le plus grave agent d’altération, qui conduit à la perte de matière et donc du décor gravé, est la présence d’un vaste cortège de sels. Ces sels ont été introduits dans le monument par la restauration du début des années 1980 et par un défaut d’étanchéité depuis 30 ans. »

 

Ainsi, au début des années 2020, des travaux de restauration sont à l’étude.

 

Ce qui est ironique, c’est que ce cairn a passé plus de 6 000 ans dans un état de conservation extraordinaire et que les hommes, en l’espace de seulement 40 ans, ne sont pas parvenus à le maintenir en l’état…

 

UN MYSTÈRE NON RÉSOLU

 

Quelle est la fonction du cairn de Gevrinis ?

 

Quel est le lien entre les gravures des différentes dalles ?

 

Que signifient ces gravures ?

 

Comment les pierres ont-elles été transportées sur le site ?

 

Pourquoi le cairn a-t-il été recouvert par un tumulus?

 

Qui a ainsi agencées les pierres et pourquoi ?

 

Qui avait ces connaissances architecturales et astronomiques ?


LA PLAINE DES JARRES, LAOS


C’est dans le Nord-Est du Laos, dans la province de Xieng Khouang, qu’ont été découvertes dans les années 30 des centaines de jarres taillées dans la pierre, dont la hauteur varie généralement entre 1 et 3 mètres.


La datation est estimée entre 5 000  et 1 000 avant J.-C. Les jarres sont disposées en groupes et, à priori, sans alignement particulier. Certaines sont à moitié enterrées.


UN GRAND MYSTÈRE!


Mais comment les populations locales ont-elles pu tailler ces énormes jarres dans des blocs de granit, pesant généralement entre 600 kg et 7 tonnes, et les transporter ensuite au sommet des collines ?


Le professeur Dougald O'Reilly de l'Australian National University, qui dirigé des analyses de ces jarres mégalithiques, déclare : « Comment les jarres [qui pèsent pour certaines jusqu'à 20 tonnes] ont été déplacées de la carrière jusqu'au site, cela reste en revanche un mystère. »


À QUOI SERVAIENT LES JARRES?


Même si certaines hypothèses sont émises, la question reste aujourd’hui toujours sans réponse.


En effet, la taille des jarres est très variable, entre 1 et 3 mètres, allant même jusqu’à 8 mètres pour certaines ! Quelques jarres possèdent des couvercles, ce qui voudrait dire qu’il y avait une volonté de les garder (ou d’en garder certaines) fermées.


Les hypothèses


Une légende locale explique que ces jarres servaient de coupes à des géants ivres.


Quant aux archéologues, ils expliquent que les urnes seraient les tombes d'un immense cimetière (certaines urnes peuvent contenir jusqu’à 10 corps) ou encore qu’il pourrait s’agir d’un centre d’incinération.


D’autres hypothèses avancent que ces urnes auraient pu servir de stockage de nourriture ou d'eau, de cuves à fermentation pour la production d'alcool, etc.


Toutes les options sont possibles quand on n’a aucune réponse!


Il est fort probable que plusieurs civilisations ont successivement utilisé le site et les urnes mystérieuses à différentes fins au fil du temps… d’où la difficulté de dater le site avec précision.

LE JEU DE SENET, ÉGYPTE ANCIENNE

 

Depuis la nuit des temps, l’homme aime jouer comme en témoigne ce jeu de Senet de l’Égypte ancienne, attribué à Toutankhamon et datant de 1 333 ans avant J.-C.

 

Celui-ci est daté de 1 333 av. J.-C., mais on sait que des jeux similaires ont été retrouvés, datant de 3 000 avant J.-C. !

 

Il s’agit d’un jeu de plateau de 30 cases, selon un motif de 3 par 10, qui comprend 58 trous. On trouve beaucoup de ces jeux au format miniature. Pas facile de retrouver les règles du jeu ! Mais les historiens expliquent qu’il s’agit d’un jeu de hasard réservé aux pharaons pour les préparer à la mort, à leur voyage dans l’au-delà.

 

En effet, Senet veut dire « passer », le passage de la vie à la mort. C’est le voyage du serpent KA, celui qui donne vie à l’homme, l’étincelle divine de chaque personne.

 

Des jeux de Senet datant de cette époque sont exposés dans plusieurs musées, dont celui datant de 1 333 ans avant J.-C. au Musée égyptien du Caire.


Pour celles et ceux qui voudraient jouer, on peut acheter des versions modernes dans toutes les boutiques de jeux !

LES PÉTROGLYPHES DE LA PAGE DE WRANGELL, ALASAKA

 

Sur la page de Wrangell en Alaska, on trouve  plus de 40 gravures rupestres vieilles de 8 000 ans qui ont probablement été créées par les Tlingit, un groupe autochtone de l'Alaska qui continue d'habiter l'archipel du sud-est de l'État.

 

Mais pour quelle raison ses pétroglyphes ont-ils été réalisés? Ceci reste toujours un mystère.

 

« Ces symboles spécifiques sont très uniques au sud-est de l'Alaska », explique Nicholas Schmuck, archéologue chargé de projets spéciaux au Département des ressources naturelles de l'Alaska. « Chaque fois que vous avez une bonne tempête, ils peuvent être enterrés puis exposés plus tard. Ils vont et viennent aussi avec les marées, les faisant disparaître et réapparaître. »

 

Ainsi, lorsque la marée est haute, les pétroglyphes sont recouverts et invisibles. Mais une fois que l'eau se retire, chaque œuvre apparaît. Il est possible que certains pétroglyphes ont été emportés par la mer au fil du temps.

 

Les Tlingit sont des sculpteurs accomplis, comme en témoignent les nombreux mâts totémiques qui dominent la région. Comme les mâts totémiques, qui contiennent souvent des images symboliques représentées dans les armoiries familiales, les pétroglyphes présentent des animaux similaires, tels que des épaulards, des oiseaux-tonnerres, des saumons et des corbeaux. Était-il possible qu'un artisan tlingit, il y a des milliers d'années, pratiquait son art en le ciselant dans les rochers de la plage avant d'appliquer ses talents de sculpteur à une œuvre d'art encore plus grande ?

 

Source : Smithsonianmag

LE TUMULUS OU LA PYRAMIDE DE SILBURY HILL, ANGLETERRE

  

Silbury Hill est le plus grand tumulus d'Europe, haut de 40 mètres pour 167 mètres de large, révélant des connaissances techniques immenses, complétées par des compétences d'ingénierie en génie civil.

 

Le tumulus date de 4 750 ans et est composé de craie et d’argile.

 

UNE PYRAMIDE

 

En 2000, bien qu’interdite au public, un visiteur qui est monté sur la structure remarque l'apparition d'un immense trou. Il s’agit de l’effondrement d’un puits de mite suite aux fouilles qui ont eu lieu en 1867 et en 1886. Malheureusement, on remarque que la structure s’est effondrée et s’est remplit d’eau à plusieurs reprises au fil du temps. Une restauration du site est alors lancée.

 

C’est ainsi que les chercheurs remarquent que le tumulus n’est pas tout à fait circulaire. Le sommet est plutôt de forme angulaire, tandis que la base est octogonale. Il s'agit donc d'une pyramide!

 

La pyramide a 5 niveaux qui ont été élevés soit en terrasses, soit en une rampe en spirale continue.

 

SIMILITUDES AVEC STONEHENGE

 

La pyramide de Silbury Hill est située à seulement 25 kilomètres au Nord de Stonehenge.

 

Elle est située elle aussi sur l’axe du lever du soleil au solstice d’hiver et au solstice d’été, ainsi que sur les équinoxes.

 

Les levers et couchers de soleil sont quasiment identiques. Pendant le solstice d’été et d’hiver, le phénomène de « quadrature du cercle » se produit autant à Stonehenge qu’à Silbury Hill.

 

DES QUESTIONS SANS RÉPONSE

 

S’agissait-il des mêmes bâtisseurs?

 

À quoi servait la pyramide de Silbury?


Personne n’est actuellement capable de donner des réponses…

LES ORIGINES INCONNUES DES MYSTÉRIEUSES FIGURINES NOMOLI, SIERRA LEONE, AFRIQUE

 

Les habitants de la Sierra Leone, en Afrique, étaient à la recherche de diamants lorsqu'ils ont découvert une collection de figurines en pierre étonnantes représentant diverses ethnies humaines et, dans certains cas, des êtres semi-humains. Ces chiffres sont extrêmement anciens, remontant peut-être à 17 000 avant JC, selon certaines estimations.

 

Cependant, certains aspects des figures, telles que les températures de fusion élevées requises pour les créer et la présence d'acier manipulé en boules parfaitement sphériques, suggèrent qu'elles ont été construites par une civilisation qui serait considérée comme très avancée pour son époque si elles étaient construites autour de 17 000 avant J-C.

 

QUI SONT REPRÉSENTÉS SUR CES STATUES?

 

Dans l'ensemble, la découverte soulève des inquiétudes fascinantes sur comment et quand les sculptures de Nomoli ont été faites, ainsi que sur le rôle qu'elles ont pu jouer pour les personnes qui les ont faites [Le Nomoli est une statuette souvent anthropomorphe en pierre tendre que l'on trouve en Sierra Leone].

 

Les statues sont mentionnées dans plusieurs anciennes traditions de la Sierra Leone. Les anges, pensaient les peuples anciens, résidaient autrefois dans les cieux. En guise de punition pour leur terrible comportement, Dieu a transformé les anges en humains et les a envoyés sur Terre.

 

Les personnages de Nomoli servent de représentations de ces personnages et rappellent comment ils ont été bannis des cieux et envoyés sur Terre pour vivre en tant qu'humains. Une autre légende veut que les statues représentent les anciens rois et chefs de la région de la Sierra Leone, et que les Temne locaux organisaient des cérémonies au cours desquelles ils traitaient les personnages comme s'ils étaient les anciens dirigeants.

 

Les Temne ont finalement été déplacés de la région lorsqu'elle a été envahie par les Mende, et les traditions impliquant les personnages de Nomoli ont été perdues. Bien que diverses légendes puissent donner un aperçu des origines et des objectifs des personnages, aucune légende n'a été définitivement identifiée comme la source des statues.

 

Aujourd'hui, certains indigènes de la Sierra Leone considèrent les statues comme des figures de chance, destinées à servir de gardiens. Ils placent les statues dans les jardins et les champs dans l'espoir d'avoir une récolte abondante. Dans certains cas, en période de mauvaise récolte, les statues de Nomoli sont fouettées rituellement en guise de punition.

 

Les personnages sont principalement humains, leurs traits reflétant plusieurs races humaines. Cependant, certaines des figures sont d'une forme semi-humaine - des hybrides à la fois humains et animaux.

 

Dans certains cas, les statues représentent un corps humain avec une tête de lézard, et vice versa. Les autres animaux représentés comprennent les éléphants, les léopards et les singes. Les chiffres sont souvent disproportionnés, les têtes étant grandes par rapport à la taille du corps.

 

UTILISATION D’UNE TECHNOLOGIE AVANCÉE

 

Lorsque l'une des statues a été découpée, une petite boule de métal parfaitement sphérique a été trouvée à l'intérieur, ce qui aurait nécessité une technologie de mise en forme sophistiquée ainsi que la capacité de créer des températures de fusion extrêmement élevées.

 

Certains soutiennent que les sculptures de Nomoli démontrent qu'il existait une société ancienne qui était considérablement plus complexe et sophistiquée qu'elle n'aurait dû l'être.

 

Les sphères métalliques ont été construites à la fois en chrome et en acier, selon les chercheurs. Il s'agit d'une découverte inhabituelle étant donné que la première fabrication documentée d'acier s'est produite il y a environ 2 000. Si les sculptures datant de 17 000 avant J-C sont correctes, comment est-il concevable que les concepteurs des statues de Nomoli aient utilisé et manipulé de l'acier jusqu'à 15 000 ans auparavant ?

 

Bien que les figures diffèrent par leur forme et leur nature, elles ont un aspect cohérent qui suggère une fonction commune. Cet objectif, cependant, est inconnu. Selon le conservateur Frederick Lamp, les figurines faisaient partie de la culture et de la coutume Temne avant l'invasion Mende, mais la tradition a été perdue lorsque les communautés ont été déplacées.

 

Avec tant de préoccupations et d'ambiguïtés, il n'est pas clair si nous aurons un jour des réponses définitives sur la date, la provenance et la fonction des personnages de Nomoli. Pour le moment, ils sont une image étonnante des civilisations anciennes qui ont précédé celles qui résident actuellement en Sierra Leone.

 

Source : Mysteries Unsolved

LES PYRAMIDES DE BOSNIE

 

En 2005, Semir Osmanagic fait part de ses recherches en Bosnie-Herzégovine, en Europe. Deux collines qui surplombent la ville de Visoko près de Sarayevo seraient en fait deux énormes pyramides (la Pyramide du Soleil et la Pyramide de la Lune) qui auraient été érigées il y a plus de 12 000 ans! Le site serait donc aussi vieux que Göbekli Tepe en Turquie.

 

Devant de telles révélations, un séisme éclate dans le monde archéologique! Devant le scepticisme des archéologues et des scientifiques, Semir Osmanagic va financer les premiers travaux de recherches et d’excavation avec ses propres deniers.

 

Toujours en 2005, des clichés satellites et images thermiques font apparaître des zones montrant la possibilité de trois pyramides (avec la Pyramide du Dragon), semblables à celle du Mexique de par leur forme et degrés d'orientation des points cardinaux. L’Institut bosnien de géodésie montre que l’écart par rapport au Nord cosmique de la Pyramide du Soleil est de 0 degré, 0 minute, 12 secondes (comparativement à 2 degrés, 28 minutes, 0 seconde pour la Grande Pyramide de Gizeh en Égypte). La précision est remarquable et la communauté scientifique commence alors à prendre conscience de l’ampleur des découvertes faites en Bosnie.

 

Les fouilles vont commencer sur le terrain en 2006 et se poursuivent encore aujourd’hui… et ce sont des découvertes extraordinaires qui sont mises à jour, révolutionnant l’histoire de l’humanité.

 

DESCRIPTION DES PYRAMIDES

 

La Pyramide du Soleil mesure 220 mètres de haut et la Pyramide de la Lune 190 mètres. Elles sont donc beaucoup plus grandes que la Grande Pyramide de Gizeh en Égypte (139 mètres). La pyramide du Dragon fait 90 mètres de haut.

 

Les pyramides ont été façonnées dans un premier temps en degrés, puis enduites de trois couches d'une pierre brune polie, selon la géologue Nadja Nukic.

 

Le 17 mai 2006, le géologue Aly Abd Barakat est envoyé par le gouvernement égyptien pour prêter main forte à l’équipe bosniaque. Il déclare : « À mon avis, c'est un type de pyramide probablement primitive qui est passée inaperçue à travers les siècles. Il serait difficile à la nature de créer des blocs comme ceci et orientés dans un même sens. » Il a ajouté que les couches de sable entre les blocs sont constituées d'un même type de ciment artificiel utilisé également dans les pyramides égyptiennes.

  

UN RÉSEAU DE TUNNELS RELIANT LES PYRAMIDES

 

De plus, un grand complexe souterrain de galeries a été découvert, reliant les pyramides entre elles. À l’intérieur de ces tunnels, on a découvert d’énormes monolithes de grès avec des symboles gravés appartenant à un système antique d'écriture.

 

RÉSUMÉ

 

Sur le site officiel des Pyramides de Bosnie, on peut lire les indications suivantes :

 

Le site à explorer est immense et il n’a certainement pas fini de nous surprendre.

LE GRAND STUPA DE SANCHI, INDE

 

QU’EST-CE QU’UN STUPA?

Un Stupa est une structure architecturale bouddhiste que l'on trouve en Asie. Il est une représentation du Bouddha ou, plus exactement, un monument célébrant sa mort.  Dans un Stupa bouddhiste, on ne peut pas aller à l'intérieur. En marque d’adoration et de respect au Bouddha, on marche autour du Stupa dans le sens des aiguilles d’une montre.

 

LE SITE DE SANCHI

Sanchi est un petit village de l'Inde, situé à 46 kilomètres au Nord-Est de Bhopal, dans la partie centrale de l'État du Madhya Pradesh.

 

Le site archéologique a été découvert au 18e siècle et restauré au 19e siècle. C’est en effet entre 1912 et 1919 que les structures sont remises dans leur état actuel. Il reste aujourd'hui environ 50 monuments, dont trois Stupas importants et plusieurs temples en ruines. Le site des Monuments bouddhiques de Sanchi est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1989.

 

LE GRAND STUPA

Le plus grand Stupa est simplement appelé « Grand Stupa ». C’est l’un des monuments les plus visités en Inde. Sa construction est estimée à 3 000 ans avant J-C, soit 200 ans environ après la mort de Bouddha, Siddhartha Gautama. 

 

La structure en forme de dôme hémisphérique mesure environ 30 mètres de diamètre et 50 mètres de hauteur. Il y a une terrasse surélevée en circonférence clôturée autour du Stupa en forme de dôme.

 

Le Stupa est accessible à partir de quatre portes, en lien avec les points cardinaux. Chacune de ces portes a été sculptée à partir d’un seul bloc de pierres pesant plus de 400 tonnes… soit l’équivalent de deux avions Air Bus 330 par porte!

 

LA PORTE SUD – LA PORTE DES LIONS

Il s’agit de la plus ancienne des 4 portes. Elle est sculptée avec les histoires de la naissance et de la vie de Bouddha. Fait intéressant, en bas de l’un des piliers de la porte, on voit cette représentation des lions qui tiennent sur leur tête la roue du Samsara.


Tout repose sur la Loi, la loi d’action et de réaction. Nos actes vont déterminer si nous allons pouvoir entrer ou non dans le Stupa, le Temple. Une des roues se situe au sommet d’une sorte d’obélisque, montrant qu’elle surplombe l’humanité. Elle régit l’humanité et, au-dessus, il y a les lions de la Loi. On note combien les lions sont grands et majestueux et que l’humanité dessous est toute petite…

 

Sur toutes les portes, aux extrémités des bordures se trouvent toujours des spirales de l’existence ou roue du Samsara.

 

LA PORTE NORD – LA PORTE DES ÉLÉPHANTS

La porte nord est la porte la mieux conservée (sauf la roue du Samsara en haut qui est cassée).

 

Ganesh est le Dieu hindou à tête d'éléphant, le fils de Shiva. Il a la puissance de l’éléphant, un animal de la création qui est capable de balayer de sa masse énorme les obstacles qui entravent sa marche. C’est le Dieu qui lève les obstacles des illusions et de l'ignorance.

 

LA PORTE EST – LA PORTE DES ÉLÉPHANTS

Tout comme la porte Nord, la porte Est les piliers sont ornés d’éléphants. Sur le dos des éléphants, se trouve un petit homme portant un mât de bateau. Ceci rappelle un épisode de la mythologie grecque ou Ulysse est attaché au mât de son navire pour ne pas céder au chant des sirènes.

 

Également, la Déesse Lakshmi, la déesse aux éléphants, accompagnée de Vishnou, sont souvent représentés naviguant sur les eaux (rappel du mât d’Ulysse). Le mât du bateau est en rapport avec la force de Devi Kundalini. Ulysse ne doit pas se laisser berner par le sublime chant des sirènes qui essaient de lui dérober cette force.


LA PORTE OUEST – LA PORTE DES NAINS

Vamana le nain, est le 5e Avatar de Vishnu. Le démon Bali avait réussi à prendre le contrôle de la terre, du paradis et de l'enfer. Vamana se présenta devant lui et demanda à Bali de lui donner autant de terrain qu'il pourrait parcourir en trois pas. Bali, amusé par ce nain, accepta. En deux pas Vamana couvrit la Terre et le paradis puis, dans sa grande bonté, laissa l'enfer à Bali. C'est ainsi que Vamana sauva le monde.

 

Le nain Vamana est généralement représenté avec un parapluie, symbole des trois joyaux du Bouddha qu’il incarne. Les nains représentent aussi les Élémentaux de la terre; ici la nature inférieure totalement dominée. D’ailleurs, au sommet du Stupa, on trouve trois disques (ou parapluie) qui sont entourés par un autre garde-corps. Typiquement, cette rampe supérieure est considérée comme le ciel ou cosmos et les trois disques symbolisent les trois joyaux du bouddhisme : ÉVEIL, DROITURE, PURETÉ.


Pour faire une visite virtuelle du site de Sanchi :

https://www.mptourism.com/destination-sanchi.php

UNE STRUCTURE ANTIQUE VIEILLE DE 7 000 ANS DÉCOUVERTE À PRAGUE, RÉPUBLIQUE TCHÈQUE


Alors qu’un chantier de construction est en cours dans les années quatre-vingt, dans la banlieue de Prague, sur le site de Vinor, on découvre les restes d’un bâtiment antique, d’une « cocarde ».


QU’EST-CE QU’UNE COCARDE?


Une cocarde est une structure circulaire aux proportions impressionnantes comprenant des tranchées et des entrées, comme le site de Stonehenge. On en trouve un grand nombre en Europe, environ 200, allant de 30 à 220 mètres de diamètre. On ne sait pas vraiment à quoi elles servent ni qui les a construites.


Dans le cas qui nous intéresse, la cocarde fait 55 mètres de diamètre et possède 3 entrées.


UNE STRUCTURE VIELLE DE 7 000 ANS!


Dans un communiqué du 5 septembre 2022, l'Académie des sciences de la République Tchèque à Prague, fait part des recherches en cours.


Miroslav Kraus, archéologue de l'Institut d'archéologie de l'Académie des sciences de la République tchèque, et responsable des recherches sur le terrain explique (traduction de l’extrait du communiqué) :


« La cocarde a un diamètre de 55 mètres et est inhabituelle dans sa disposition, car c'est l'une des rares à avoir trois entrées. (…) La plupart du temps, seuls les restes d'un fossé ou de plusieurs fossés sont retrouvés, qui entouraient à l'origine la structure en bois à l'intérieur de la partie centrale de la cocarde. Les trois rainures préservées nous surprennent dans une large mesure, car le terrain d'origine a considérablement changé au cours des 7 000 dernières années. »


La structure a donc 7 000 ans et elle est relativement bien conservée. Elle est donc bien plus ancienne plus ancienne que celle de Stonehenge.


Malheureusement, des immeubles sont en construction juste à côté du site… Mais Jaroslav Ridky, un autre archéologue spécialiste des cocardes de l'Institut d'archéologie de l'Académie des sciences de la République Tchèque est optimiste :


« J'estime que nous arriverons à découvrir environ 90% de la structure, c'est une opportunité extraordinaire pour l'archéologie. Seule une dizaine de cocardes ont ainsi été découvertes en Europe. »


QUI A CONSTRUIT CETTE STRUCTURE? COMMENT ET POURQUOI?


Miroslav Kraus explique : « Elles [les cocardes] ont été bâties durant l’âge de pierre, antérieurement à la découverte du fer et où les seuls outils utilisés par les humains étaient faits de pierre ou d’os d’animaux ».


On comprend facilement que de telles structures ne pouvaient pas être réalisées avec les outils que l’histoire officielle nous présente de l’époque! Mais alors, tout comme pour Stonehenge et d’autres sites antiques, quelles sont ces civilisations qui ont construit ces monuments? Dans quel but et pourquoi?


LA PYRAMIDE DE KUKULCAN (EL CASTILLO), CHICHEN ITZA, MEXIQUE


Cette pyramide mexicaine est très connue, et à juste titre, car c’est une pure merveille! Mais elle garde encore bien des secrets!


KUKULCAN est un nom maya de QUETZACOATL qui veut dire « SERPENT À PLUMES ».


La pyramide à une hauteur d’environ 30 mètres, avec 9 terrassements et 4 escaliers de 91 marches, soit un total de 365 marches avec la plateforme au sommet, en lien avec le calendrier solaire.


Au moment précis des équinoxes de printemps et d'automne, l’ombre de l’escalier de la pyramide projette une forme de serpent, dont la tête est sculptée dans la pierre au bas de la pyramide… prouvant les connaissances avancées des Mayas en architecture et en astronomie.


Il y a sur place un observatoire très élaborée et les mayas étaient capables de prédire les éclipses solaires.


Autre fait étonnant, alors que cette région manque cruellement d’eau, un puits profond a été construit comme réservoir permanent d’eau pour toute la cité.


Ce qui est aussi absolument incroyable, c’est cette découverte faite en 2016 que cette pyramide cache en fait deux autres pyramides à l’intérieur… comme des poupées russes!


LA CITÉ PERDUE D’ANGAMUCO, MEXIQUE

 

LA RÉVOLUTION LiDAR POUR DÉCOUVRIR DES SITES ARCHÉOLOGIQUES

 

Le LiDAR, soit la détection de lumière et balayage de télémétrie, consiste à diriger une succession rapide d'impulsions laser au sol à partir d'un avion. Le temps et la longueur d'onde des impulsions réfléchies par la surface sont combinés avec le GPS et d'autres données pour produire une carte tridimensionnelle précise du paysage. Cela permet de voir ce qui se cache sous une végétation dense.

 

C’est ainsi que plusieurs sites archéologiques anciens ont été mis a jour dont, en 2018, la découverte de la ville d’Angamuco, située près d'un lac dans l'actuel état de Michoacan au Mexique.

 

La ville était déjà connue des archéologues dès 2007, mais les fouilles étaient très ardues au sol compte tenu du caractère accidenté et inhospitalier de la région. On comprend donc que la technique de balayage LiDAR a été très utile et efficace pour cartographier toute la zone qui s'étend sur 26 km2 et qui a été recouverte par une coulée de lave.

 

Alors que cartographier la zone depuis la terre aurait pris des dizaines d’années, en seulement deux vols d’avion utilisant LiDAR, la ville a pu se dessiner sous les yeux des archéologues médusés!

 

UNE CITÉ COMPARABLE À MANHATTAN, NEW YORK

 

L'archéologue Chris Fisher, de l’Université d'État d'Olorado, qui a fait cette incroyable découverte, déclare : « C'est une zone immense avec beaucoup de gens et beaucoup de fondations architecturales qui sont représentées. Si vous faites le calcul, tout d'un coup, vous parlez de 40 000 fondations de bâtiments là-haut, ce qui représente [environ] le même nombre de fondations de bâtiments que sur l'île de Manhattan. »

 

Angamuco a une disposition inhabituelle. Les monuments tels que les pyramides et les places ouvertes sont concentrés dans huit zones autour des limites de la ville, alors que généralement, ils sont situés dans un seul grand centre-ville. Selon Fisher, la cité aurait été construite par les Purépecha et plus de 100 000 personnes auraient vécu à Angamuco à son apogée, entre 1 000 et 1 350 après JC. Il précise : « Sa taille en ferait la plus grande ville que nous connaissons actuellement dans l'ouest du Mexique au cours de cette période ».

 

DES DÉCOUVERTES À SUIVRE!

 

Des fouilles sont entamées sur le terrain, mais cela va prendre encore beaucoup de temps pour mettre à jour cette cité et en savoir plus sur cette civilisation.


Actuellement, ce sont seulement 1,6 km2 des caractéristiques architecturales découvertes grâce au LiDAR qui ont pu faire l’objet de fouilles par des équipes sur le terrain. Et rappelons-nous que la cité fait 26 km2… Il va donc falloir de nombreuses années pour procéder à l’excavation du site.

BASSIN DE MERCURE LIQUIDE SOUS LA PYRAMIDE DE TEOTIHUACAN, MEXIQUE


À partir de 2003, Sergio Gomez, archéologue à l'Institut national d'anthropologie et d'histoire du Mexique, découvre l'entrée d'un tunnel menant sous la pyramide de Teotihuacan, qui était resté scellé pendant plus de 2 000 ans! Il se trouve à 18 mètres de profondeur et il fait 103 mètres de long.

Puis 5 chambres souterraines ont été mises à jour, contenant des milliers d'artefacts, dont des squelettes de grands jaguars et de loups! 

En 2015, après 6 ans d’excavation… surprise! DU MERCURE LIQUIDE est découvert près de l’entrée d’une des chambres sous la pyramide de Teotihuacan. Le mercure était alors très rare et précieux.

Le mercure est souvent trouvé dans les tombes mésoaméricaines sous la forme d'un pigment rouge en poudre appelé cinabre (sulfure de mercure composé à plus de 80% de mercure), mais SA FORME LIQUIDE EST EXTRÊMENT RARE. Rappelons que le mercure liquide est très toxique pour l’homme. D’ailleurs, les archéologues doivent revêtir des équipements de protection pour les fouilles.

L’archéologue Julie Gazzola Inah, qui travaille sur ce site, explique : « Le mercure a été trouvé en quantité sous forme liquide dans la chambre sud. Il est très difficile à récupérer, car il ne se trouve pas dans un récipient mais mêlé directement à la terre. Lorsqu’on appuie sur les gouttes de mercure, elles se rassemblent et forment une boule plus grosse. »

Cela signifie que cette ancienne civilisation était capable de produire du mercure liquide en chauffant le minerai de cinabre. Selon Sergio Gómez, ce mercure aurait pu à l’époque représenter une rivière ou un lac souterrain.

Mais qui a mis du mercure liquide sous la pyramide et dans quel but?

La pyramide de Theotihuacan est loin d’avoir délivré tous ses secrets!

HUASHAN, LA MONTAGNE SACRÉE, CHINE


Il existe beaucoup de grottes célèbres en Chine, mais ce qui différencie les grottes de Huashan des autres, c’est qu’elles ne sont pas naturelles, mais bien artificielles. Il s'agit d'un immense ensemble de palais souterrains en forme singulière, creusés jadis par une civilisation inconnue, il y a possiblement 2 000 ans... ou plus! À ce jour, personne ne peut expliquer le pourquoi ni le comment de la construction.

DÉCOUVERTE

Ce sont 36 grottes qui ont été découvertes, se répartissant dans les montagnes ou sous-terre, à 5 kilomètres du bord sud du fleuve Xin'an, en aval, dans le territoire de Tunxi en Chine. Elles ont été découvertes en 1999, par hasard, par un agriculteur. Les grottes étaient en effet bien cachées! Puis la municipalité de Huangshan a entamé des fouilles et les grottes sont maintenant devenues un haut lieu du tourisme en Chine.

DES CONSTRUCTIONS IMPRESSIONNANTES!

Sur les 36 grottes découvertes, deux ont été aménagées (grottes no 2 et no 35) permettant de les visiter. Selon les chercheurs, il y a une forte possibilité que les 36 grottes soient connectées les unes aux autres.

Les grottes sont spectaculaires, notamment la grotte no 35, connue sous le nom de « palais souterrain » en raison de son ampleur et de sa magnificence. On y trouve une salle principale, un grand hall intérieur, avec 26 colonnes de pierre, d’un diamètre de plus de 10 mètres et d'une hauteur d’au moins 10 mètres, qui sont arrangées en forme de gorge pour supporter le plafond de la grotte. 

L’architecture et les formes révèlent de grandes connaissances mécaniques et esthétiques. On peut encore voir des traces de forage sur les murs. Les murs sont parfaitement ciselés ainsi que les toits, les grands piliers de pierre, les escaliers, etc. Les majestueux motifs gravés dans les grottes saisissent le public d'admiration.

Autour de ce grand hall intérieur, on découvre 36 pièces de différentes tailles et à différents niveaux de hauteur. À l’intérieur de la grotte, il y a un pont de pierres au-dessus d'une rivière souterraine et des chemins menant à différents halls. Il y a également une structure en pierre de deux étages où les visiteurs ont une vue plongeante sur l'immense grotte à partir d'un balcon.

Un autre fait structurel intéressant et étonnant est que la gigantesque caverne est dépourvue d’écho. En effet, les murs ont été construits de façon à empêcher la résonance du son…

QUI AURAIT PU FAIRE UNE TELLE CONSTRUCTION?

Avec une longueur totale de 170 mètres, le palais souterrain couvre un espace de 12 600 mètres carrés. Il s’agit d’un immense travail : creuser cette grotte représente une excavation d’au moins 50 000 mètres cubes de pierres!

De plus, le bassin Bishui, qui est un bassin souterrain si profond que trois mois de pompage serait insuffisants pour en retirer toute l’eau. L'eau y est parfaitement limpide! Comment un peuple ancien a-t-il fait et pourquoi avoir créé ce bassin dans des grottes perdues dans la montagne?

Une autre découverte mystérieuse concerne la pente de la grotte. Le plan incliné des murs a exactement la même inclinaison que la pente de la colline à l'extérieur. Pourtant, si on se réfère à la technologie de l'époque, cela aurait été impossible à concevoir…

Des hiéroglyphes de différentes périodes ont également été découverts, lesquels n’ont à ce jour toujours pas été déchiffrés.

Autre fait étrange, les grottes de Huashan se situent sur le 30e parallèle Nord, tout comme certains sites antiques célèbres comme: 

Mais alors QUI est l’architecte de ces grottes énigmatiques?

À QUOI SERVAIENT CES GROTTES?

Contrairement à certaines fouilles archéologiques, on n’a retrouvé aucun reste de nourriture dans les grottes, ni aucune trace de feu. Cela signifie que les grottes n’étaient pas habitées. Mais cela pose aussi une question importante : comme on n’a retrouvé aucune trace feu, avec quelle lumière les bâtisseurs ont-ils creusé les grottes?

Ce qui est surprenant, c’est que dans l’histoire chinoise, aucun texte ni aucun écrit n’a été trouvé au sujet de ces grottes… pourtant la Chine possède de nombreux textes anciens. Pourquoi ne retrouve pas un seul mot dans les diverses archives archéologiques se référant à ces grottes spectaculaires dont l’excavation à elle seule représente un travail colossal?

Pour ajouter au mystère, les grottes se trouvent sur le mont Huashan, la montagne sacrée taoïste la plus célèbre en Chine, également baptisée « montagne jaune ». Sur cette montagne escarpée, il y a des temples, des monastères où vivent des moines, des nonnes et la visite de pèlerins cherchant tous l’extase mystique. Il y aurait 72 temples creusés dans les montagnes.

DES QUESTIONS SANS RÉPONSE

Cette découverte suscite plus de questions que de réponses!

Une fois encore, nous avons des traces physiques d'une civilisation ancienne et inconnue, technologiquement et spirituellement extrêmement avancée.

LA DESTRUCTION DE LA PYRAMIDE DE NICE, FRANCE


Au Nord-Est de Nice, sur la Côte d’Azur, en France, plus précisément dans le village de Saint-André-de-la-Roche, jusque dans les années soixante-dix, se trouvait une pyramide. On l’appelle aujourd’hui la « pyramide de Nice », mais son vrai nom est la « pyramide de Mérindol ». En effet, le seigneur Rostaing, vicomte de Nice, fit donation du territoire saint-andréen et abadien à l’abbaye de St Pons en 999. Il se prénommait Miron et son épouse Odile, c’est ainsi qu’il donna à la pyramide le nom de « Mérindol ».

Description de la pyramide

La pyramide faisait environ 50 mètres de haut et 200 mètres de large. Il s’agissait d’une pyramide à étages et, à son sommet, il y avait un grand dolmen. Sa construction se situerait autour de 3 500 à  4000 ans. 

La destruction

L’histoire commençait bien, mais elle va tourner au désastre dans les  années soixante-dix puisque la pyramide va être complétement rasée pour construire une autoroute ou, plus exactement, un échangeur routier! 

Certains crient aujourd’hui « fake news »… et pourtant, en janvier 2006, le conseil municipal de Saint-André-de-la-Roche parle de ce sinistre évènement et indique par écrit dans son bulletin (qui est disponible sur Internet) :

« Lors de la construction de l'A8, la commune de Saint-André-de-la-Roche a été fortement touchée puisque la sortie Est a causé d'importants traumatismes. Les dégâts furent de deux ordres :

Déjà cette malheureuse pyramide avait subi de sérieux dommages dans les années cinquante puisqu’elle avait été vendue en 1954 à un contracteur qui l’a utilisée comme une vulgaire carrière pour prélever des pierres afin de construire des maisons dans le village. En 1955, les villageois avaient réussi à faire stopper le pillage historique, mais la pyramide avait déjà été pas mal saccagée. Sur une des photos, on peut nettement voir le chemin qui a été construit pour transporter les pierres.

Également, lors des invasions romaines, il est fort probable que les romains avaient eux aussi utilisé les pierres de la pyramide pour construire des chemins pavés…

Comment une telle destruction a pu être possible?

On peut se demander comment un pays comme la France, soucieux de son patrimoine, a pu détruire une telle construction antique. Il s’agissait d’un monument tout à fait inhabituel et archéologiquement fantastique qui aurait pu nous en apprendre beaucoup sur une civilisation ancienne qui l'a construite et donc sur notre histoire. Pourtant aucun homme politique, aucun archéologue, aucune association ne s’est manifesté pour tenter de sauver la pyramide. Pour preuve, la plupart des français ne savent même pas qu’une pyramide avait été érigée à Nice!

Pour rependre une citation extraite de mon livre ÉNIGMATIQUE – RUSSIE : « Cela fait sinistrement penser à la pyramide de Nice, en France, qui a été entièrement détruite dans les années soixante-dix pour construire une autoroute, et ce, dans le silence le plus total, sans qu’aucune voix ne s’élève, sans qu’aucun archéologue, scientifique ou politicien ne dise rien! Malheureusement, encore une fois, on note un cynisme éhonté pour la conservation et l’étude de ces structures antiques extraordinaires. Ce qui vient contrecarrer l’histoire officielle est tristement et misérablement volontairement ignoré, voire détruit. » 

Le mystère de la pyramide de Mérindol

On ne sait pas QUI a construit cette pyramide ni POURQUOI. Avec son épouvantable destruction, elle a emporté avec elle tous ses secrets. C’est vraiment choquant, honteux et profondément regrettable.

Notons que, pas très loin, il y a la petite pyramide de Falicon, plus connue et qui est partiellement détruite elle aussi, mais beaucoup plus petite (environ 10 mètres de haut).

LES PYRAMIDES DE NAKHODKA – RUSSIE


Près de Nakhodka, les habitants connaissent depuis fort longtemps ces trois collines de Brat qui ressemblent à des pyramides. La légende raconte que les Titans (les Dieux « primordiaux » précédant les Dieux olympiens) les ont déposées ici il y a des millions d’années. Elles sont considérées comme étant les portes du Grand Esprit bouddhiste. On les appelle les pyramides FRÈRE, SOEUR et NEVEU. Il faudra cependant attendre les années 2000, suite à une expédition de Valery Yurkovets, géophysicien minier, et Oleg Gusev, pour apporter la preuve officielle que les pyramides sont bien artificielles.

La PYRAMIDE FRÈRE est haute de 242 mètres, comparativement à 139 mètres pour la pyramide de Khéops en Égypte. Au 20e siècle, le calcaire de la pyramide a été extrait de manière intensive pour construire le port de Vostochny. Pourquoi aller chercher du calcaire de l’autre côté de la rivière, par bateau, grimper la pyramide, se rendre à son sommet, emporter le calcaire, redescendre la colline, charger et acheminer le calcaire à nouveau par bateau pour l’apporter de l’autre côté de la rive… où se trouve pourtant du calcaire en abondance?! Ainsi, un tiers du sommet de la pyramide a été irrémédiablement détruit et ressemble maintenant à une carrière. C’est épouvantable et on ne peut que s’interroger sur l’intention volontaire d’une telle destruction. Cela fait sinistrement penser à la pyramide de Nice, en France, qui a été entièrement détruite dans les années soixante-dix pour construire une autoroute, et ce, dans le silence le plus total, sans qu’aucune voix ne s’élève, sans qu’aucun archéologue, scientifique ou politicien ne dise rien! Malheureusement, encore une fois, on note un cynisme éhonté pour la conservation et l’étude de ces structures antiques extraordinaires. Ce qui vient contrecarrer l’histoire officielle est tristement et misérablement volontairement ignoré, voire détruit.

La PYRAMIDE FRÈRE présente les mêmes proportions que la pyramide de Khéops même si elle ne lui ressemble plus vraiment avec 79 mètres de hauteur en moins après 40 ans de vandalisme. Dans un coin de la carrière, soit en haut de la pyramide, les chercheurs ont découvert les restes d’un mur sur lequel se trouvent des traces de peinture. Le mur est constitué d’un matériau qui nous est totalement inconnu, fait de mortier avec des éclats de marbre, du mica, des inclusions minérales, le tout partiellement cristallisé. Cela signifie que ce matériau a subi des températures d’au moins 600 degrés Celsius. Mais comment cela a-t-il été réalisé? La découverte de ce mur indique qu’il y a une pièce dans la pyramide et un passage souterrain a été découvert. Malheureusement, comme la pyramide a été dynamitée pour extraire le calcaire, elle a été fragilisée et il est très difficile de faire des fouilles adéquates.

LA PYRAMIDE SOEUR est la plus imposante avec ses 318 mètres de hauteur, soit plus de deux fois la hauteur de la pyramide de Khéops.

Quant à la PYRAMIDE NEVEU, sa hauteur est de 144 mètres, soit presque la hauteur de la pyramide de Khéops (139 mètres).


Extrait de mon livre ÉNIGMATIQUE – RUSSIE

https://www.amazon.fr/dp/B0B92TYH2Z?ref_=pe_3052080_397514860

TUNNELS SOUTERRAINS ENTRE L’ÉCOSSE ET LA TURQUIE VIEUX DE 12 000 ANS!


Des archéologues ont découvert des milliers de tunnels souterrains allant de l’Écosse à la Turquie qui datent de 12 000 ans, soit de la fin du paléolithique et du début du néolithique. Cette découverte est incroyable et démontre que les peuples de cette époque étaient bien plus évolués que nous le raconte l’histoire officielle.

Les tunnels sont très étroits par endroit, ne permettant le passage que d’une seule personne, et parfois même en rampant, mais il y a aussi des passages plus larges et des grandes pièces. 

C’est l'archéologue allemand Heinrich Kusch qui a popularisé cette découverte grâce à son livre « Les secrets de la porte souterraine d'un monde antique », publié en 2009, où il faut part des découvertes de tunnels dans toute l’Europe et il précise que seulement 10 % d’entre eux ont été cartographiés. Il reste donc encore beaucoup d’explorations à faire.

Heinrich Kusch déclare : « Partout en Europe, il y avait des milliers d’entre eux [tunnels] – du nord de l’Écosse jusqu’à la Méditerranée. La plupart ne sont pas beaucoup plus grands que des trous – à peu près 70 centimètres de diamètre – juste assez larges pour qu’une personne puisse se faufiler à travers lentement. Ils sont entrecoupés de recoins, à certains endroits, ils sont plus grands et il y a des sièges ou des zones de stockage, des chambres et des salles. Ils n’ont pas tous un lien visible mais, pris ensemble, ils forment un immense réseau souterrain. »

Plusieurs entrées vers les tunnels ont été volontairement bouchées pour les cacher. Fait étrange, à certains endroits, ces passages ont des portes et des verrous.

Mais à qui servaient ces tunnels? Les archéologues et chercheurs n’ont pas encore réussi à répondre à cette question. Évidemment, si on réfléchit avec cette vision erronée que nous avons des peuples vivant il y a 12 000 ans, la conception même de ces tunnels est improbable et inexplicable.

Plusieurs hypothèses ont été émises… mais sont-elles crédibles?

Cette histoire de réseau immense de souterrains en Europe nous fait littéralement plonger dans une autre époque, dans une ancienne civilisation dont nous ne connaissons finalement pas grand-chose…


Note : La Manche existe depuis environ 10 000 ans seulement. Avant d'être la mer que nous connaissons aujourd'hui, c'était un fleuve peu profond qu'il était alors possible de traverser.

LA ZIGGOURAT D'UR EN IRAQ


Qu’est-ce qu’une ziggourat?

Une ziggourat est un temple sacré sur une plate-forme avec un escalier. Elles ressemblent à des pyramides à degrés, dont la base est carrée, qui peuvent avoir entre 2 à 7 niveaux. Chaque niveau est plus petit que le précédent. Au sommet des ziggourats, on trouve un temple dédié à un Dieu.

La ziggourat d’Ur

Son nom signifie « Temple dont la fondation crée l'aura ». Elle date de 2 100 ans avant J-C. et est dédiée au Dieu de la Lune Nanna. Elle a été construite avec plus de 720 000 briques de boue, pesant chacune 15 kg, méticuleusement empilées les unes sur les autres, dans un agencement parfait.

Chacun des quatre coins de la ziggourat d'Ur pointe vers exactement vers les points cardinaux et le grand escalier est orienté vers le lever du soleil du solstice d'été. Les sumériens avaient donc des connaissances astronomiques, tout comme les égyptiens.

La majeure partie de la ziggourat est toujours intacte aujourd'hui grâce au génie des bâtisseurs sumériens d'origine :

1- Un système de ventilation fait avec un noyau de briques de boue entourée d'un extérieur de briques cuites au soleil qui permet de retenir l’humidité.

2- Les murs ont été construits avec une légère pente pour permette à l’eau de s'écouler sur les côtés de la ziggourat.

3- Le sommet de la ziggourat a été construit avec des briques de boue entièrement cuites maintenues ensemble par du bitume, pour éviter les infiltrations d’eau.

Les vestiges de la ziggourat a ont été découverts en 1850 et des fouilles ont été menées dans les années vingt par l'archéologue britannique Sir Leonard Woolley qui a déterré de nombreux artéfacts. Aujourd’hui, c’est seulement 30% du site a été mis à jour.

« Ur Kasdim », traduit par Ur des Chaldéens, est une ville mentionnée dans la Bible hébraïque comme le lieu de naissance d’Abraham.

Pour la petite histoire, durant la guerre du Golfe en 1991, Saddam Hussein a garé deux avions de chasse proche de la ziggourat dans l’espoir que les américains ne bombarderaient pas ce fabuleux trésor historique, mais il y a quand même eu quelques dégâts mineurs.

C’est seulement en 2021 que l'Irak a ouvert ses portes au tourisme pour les occidentaux, mais cette destination, jugée toujours dangereuse, reçoit encore peu de visiteurs étrangers.

L’ancienne cité d’Ur et la civilisation sumérienne

Les archéologues pensent que la ville d’UR était la plus grande cité à cette époque, l'une des capitales les plus importantes de la civilisation sumérienne. Les vestiges montrent qu’elle était habitée entre -5 000 et -3 752 J-C.

La civilisation sumérienne était extrêmement avancée intellectuellement et technologiquement, comme en témoignent les temples et artefacts découverts, allant de l’art, en passant par la connaissance de l’astronomie et des mathématiques.

Nous leur devons la division sexagésimale du temps et du cercle, un système de numération utilisant la base 60, par exemple nos 60 minutes dans une heure, 24 heures dans une journée, 360 degrés dans un cercle, etc.

Les Sumériens sont également les inventeurs de la plus ancienne écriture humaine connue à ce jour, soit l’écriture cunéiforme. Ils sont aussi à l’origine de la création des premiers états, avec des institutions et des administrations complexes.

Les Sumériens avaient été longtemps effacés de l'histoire et, grâce aux premières découvertes archéologiques en Mésopotamie antique, ils ont pu reprendre, au 19e siècle, leur juste place dans notre histoire.

L’ILE DE DE PAQUES – L’ÉCRITURE RONGO RONGO


Si les Moaïs suscitent bien des questionnements, une autre découverte, plus étonnante encore, nous fait réfléchir sur l’existence d’une civilisation passée très développée qui aurait existée sur cette île perdue au milieu du Pacifique.

Lors de la colonisation de l’Ile au 18e siècle, des tablettes en bois représentant de curieux symboles ont été découvertes. C'est assez étrange d'avoir trouvé ces symboles quand on sait que la culture polynésienne, à laquelle appartient la civilisation pascuane, n'utilisait pas d'écriture…

Avec l’arrivée des européens au 19e siècle, des évènements d’une extrême violence se déroulent sur l’île : les habitants seront massacrés, les Moaïs saccagés et les tablettes d'écriture brûlées par les missionnaires. Malheureusement, les grands prêtres porteurs de la tradition et capables de lire l'écriture Rongo Rongo sont tués. De cette période, il ne reste plus aujourd'hui que 21 tablettes dans le monde qui sont dispersées dans des musées et dans quelques collections privées.

Ces tablettes comportent en tout 13 682 caractères (selon le répertoire de Thomas Barthel) et environ 600 glyphes de base. On reconnaît nettement des représentations d'hommes, des objets quotidiens, mais aussi des poissons, des lézards, des oiseaux (dont des animaux qu’on ne trouvait pas sur l'île de Pâques). La très grande majorité des hiéroglyphes sont anthropomorphiques. En outre, aucune datation ne s'est montrée concluante, leur âge reste actuellement indéterminé.

L'écriture Rongo-Rongo est probablement dans l'esprit des hiéroglyphes égyptiens mais on ne parvient pas à la comprendre. Il y a également de nombreuses similitudes entre cette écriture et l'écriture dite Proto-Indus (ou proto-indienne) de la vallée de l'Indus qui est datée d’au moins 2600 à 3000 ans avant J.-C. Ni l’homme ni les programmes informatiques n’ont réussi à percer le mystère de cette énigmatique écriture…

Le sens de cette écriture s'avère unique au monde : on lit de gauche à droite, mais en partant du coin inférieur gauche de la tablette, puis, arrivé en bout de ligne, on fait pivoter la tablette de 180 degrés et on continue, toujours de gauche à droite. L'orientation des signes change d'une ligne à l'autre. Imaginez un livre dont les lignes impaires sont imprimées normalement mais dont les lignes paires vont non seulement de droite à gauche mais ont des lettres imprimées sens dessus-dessous. Pour le lire sans trop de peine, il faudrait retourner le livre à chaque ligne… Voilà à quoi ressemblent les tablettes de l'Île de Pâques!

CHINE – DÉCOUVERTE D’UNE PYRAMIDE ET D'UNE CIVILISATION ANTIQUE SOUS L’EAU


En 1998, un plongeur spécialisé, Geng Wei, fait une étrange découverte sous le lac Fuxian : il découvre de nombreux matériaux en pierre, y compris des dalles et des bandes de pierre avec une épaisseur de mousse par-dessus. Il écrit un rapport aux ministères et experts officiels de la province du Yunnan et, en 2001, le gouvernement local lance la 1ère grande exploration du lac, qui est retransmise à la télévision Chinoise (CCTV).

L’expédition a permis de découvrir un certain nombre d’objets antiques, de la vaisselle et des vestiges de bâtiments au fond du lac. Les chercheurs ont aussi découvert un mur de pierre de 30 m de long et haut de 1,5 m. Le mur a été façonné à l'aide de pierres régulières dont les joints sont visibles. Une grande dalle dont une face est recouverte de mousse tandis que l'autre face est parfaitement lisse.

En 2006, Genq Wei organise une nouvelle expédition et découvre les vestiges d’une pyramide semblable à celles des mayas : « Cette pyramide est différente de celles qu'on trouve en Égypte dans la mesure où son sommet est plat. Ce genre de pyramide rappelle plutôt les édifices mayas, qui sont pourvus d'une plate-forme au lieu d'être en pointe. Apparemment le sommet de la pyramide servait à certaines activités. »

Selon l’analyse des images du sonar, il y aurait 30 bâtiments enfouis sous le lac Fuxian dont au moins 2 édifices comparables aux pyramides mayas. Ces 2 pyramides mesureraient 60 m de large et 21 m de haut.  Les chercheurs ont également mis en évidence la présence d’une route reliant les 2 pyramides. Il est difficile de dater ces constructions, certains parlent d’une civilisation antique datant d’au moins 2 000 ans.

En 2014 une nouvelle exploration scientifique étudie le site préhistorique dans le lac Fuxian. Au centre du lac d'eau douce se trouve une petite île sur laquelle se trouvent plusieurs petits anciens temples. Les autorités chinoises ne dévoilent malheureusement pas grand-chose au sujet des recherches…

ANTARCTIQUE – Aujourd’hui paradis blanc, hier paradis vert!


Il y a 35 millions d'années, l'Antarctique était un endroit très différent de la terre de glace d’aujourd'hui. Il y avait alors des forêts, des plantes, des insectes et des animaux, puis un seuil a été atteint, le climat s'est rapidement refroidi. Il y a eu une accumulation de glace et de neige… la terre verte est devenue blanche et stérile.

Les chercheurs ont trouvé du pollen fossilisé dans les sédiments, provenant de plantes qui vivent dans deux environnements différents. Les résultats montrent que l'environnement d'une plante était une forêt humide de basse altitude, dominée par des fougères arborescentes et des palmiers. L'autre était une région montagneuse de forêt de montagne avec des hêtres et des conifères. Le pollen des deux milieux indique que les températures sur l'Antarctique ont atteint jusqu'à 21° Celsius en été et étaient supérieures à 10° Celsius, même pendant les mois les plus froids et les plus sombres de l'année.

D'autres civilisations ont donc pu vivre il y a des millions d'années en Antarctique...

SACSAYHUAMAN – CUSCO, PÉROU


On ne se lasse pas de contempler cette forteresse énigmatique à Cusco… De gigantesques blocs de pierre, pouvant mesurer jusqu’à 8,5 mètres de hauteur et peser jusqu’à 200 tonnes, et qui s’imbriquent parfaitement les uns dans les autres, malgré des tailles et de coupes différentes.

Des questions toujours sans réponse et des découvertes bien mystérieuses :

Le mystère reste entier!

SHI CHENG, L’ATLANTIDE CHOINOIS


Les vestiges d’une citée exceptionnelle près de Sganghai en Chine, la Cité des Lions, datée de plus de 2 000 ans, a été submergée 1959 pour construire un barrage hydroélectrique!!!

Cette cité engloutie a été explorée pour la première fois en 2001 et fait depuis le bonheur des plongeurs.

Mais quelle tristesse d’avoir submergé volontairement une si magnifique civilisation ancienne, dont la taille fait l’équivalent de 62 terrains de football.

LA PYRAMIDE SOUS-MARINE DE YONAGUNI, JAPON


Yonaguni est l'une des îles de « Yaeyama » au sud-ouest d'Okinawa, située à l'est du Japon et proche de Taïwan. En 1985, Kihachiro Aratake, un voyagiste de plongée venu voir des requins, découvre une structure étonnante à 22 mètres de profondeur.

Le monument de Yonaguni est daté d’au moins 8 000 ans avant J.C., soit plus de deux fois l’âge des pyramides d’Égypte! La structure fait 75 mètres de long et 25 mètres de hauteur. Elle a été construite avec des blocs de pierres gigantesques, parfaitement rectangulaires et sur 5 niveaux. 

Le professeur Masaki Kimura, géologue de l'université Ryukyu à Okinawa, qui fut le premier scientifique à étudier le site, a conclu que la mystérieuse structure de 5 étages avait été bâtie de la main de l'homme : « Cet objet n'a pas été façonné par la nature. Si cela avait été le cas, on pourrait s'attendre à trouver des débris dus à l'érosion autour du site, mais il n'y a pas de fragments de roche ici. (…) La découverte de ce qui apparaît être une route entourant la construction est une autre preuve de la nature artificielle du bâtiment. »

Les photos sont saisissantes! 

LES DALLES DU LAC SHIRA EN RUSSIE


Autour et sous le magnifique lac Shira en Russie, dans la République de Khakassie, on trouve de grandes dalles de granit rose qui ont été découpées et posées selon un agencement précis. Selon la version officielle, ces dalles ont été formées naturellement par le vent et l’eau salée. Du coup, personne ne s’intéresse à ces dalles ni ne cherche à comprendre qui les a construites et pourquoi.

Pourtant, on retrouve le même type de dalles à Bimini dans les Bahamas, « la route de Bimini », un complexe mégalithique sous-marin, et aussi sur le site des pyramides de Bosnie.

Fait pour le moins étrange, proche du lac Shira, il y a aussi des dolmens et des menhirs, autres vestiges d’une ancienne civilisation.

EMPREINTE DE PIED GÉANTE EN AFRIQUE DU SUD


Une empreinte de pied moulée dans du granit, mesurant 1,2 mètre de hauteur, a été découverte près de Mpuluzi, près de la frontière du Swaziland dans la province de Mpumalanga au nord-est de l'Afrique du Sud. Elle a été découverte en 1912 par un chasseur et elle est toujours dans le même état depuis toutes ces années.

Le granit est une roche ignée qui se solidifie sous forme de cristaux lorsqu'un magma en fusion auparavant très chaud (environ 800°C) se refroidit. Alors comment cette empreinte de pied aurait-elle pu se former à cette température? Le pied aurait brulé sur du magma en fusion!

Une autre question concerne la datation de l’empreinte car la formation du granit se situe entre 200 millions et 3 milliards d'années. Selon les géologues, il y a 3 milliards d’années, il n’y avait pas assez d’oxygène dans l'atmosphère terrestre pour accueillir des hommes, encore moins des géants!

Certains scientifiques pensent qu’il s’agit d’un hasard : la roche aurait refroidie formant cette forme… et on voit dans cette roche ce qu’on veut bien y voir, c’est-à-dire une empreinte de pied.

À chacun de se faire sa propre opinion!